« Le street art fait les belles heures des galeries et des musées »

L’article « Le street art fait les belles heures des galeries et des musées » a été écrit par la journaliste Odile Morain en avril 2015 à l’occasion de l’exposition « Pressionnisme » présentée à la Pinacothèque de Paris. C’est un article qui relate et à la fois explique comment « l’art de rue » est devenu un art commercialisé et très prisé par les galeries d’art. Cet article est merveilleusement bien complété par un reportage france télévision de A. Chopin, O. Palomino et B. Vidal, qui montre l’engouement très récent pour le street art, ici à Paris.

Cet article est disponible sur le site internet culturebox.francetvinfo.fr. Il s’agit de la plateforme francetelevision. Sur ce site internet, il est possible de regarder en direct les programmes des chaines du groupe, revoir des programmes en replay … Cette plateforme a également des widgets permettant l’accès à la partie du site : « culture box ». Dans cette partie sont rassemblés de nombreux articles sur l’actualité culturelle. Les articles commentent et expliquent les évènements culturels. La plupart de ces évènements ont été présenté à la télévisions dans les émissions du groupe francetélévision, ces articles apparaissent donc comme des compléments des émissions.
Concernant l’article sur l’exposition « le pressionnisme », l’auteur a placé dans le corps de l’article un extrait de l’émission diffusé à la télévision. L’article nous permet d’avoir plus d’informations et un autre regard, peut-être plus large sur ce qu’englobe l’exposition.

Le sujet de cet article est donc l’exposition « le pressionnisme 1970-1990, les chefs-d’oeuvres du graffiti sur toile de Basquiat à Bando ». Elle a eu lieu du 12 mars au 13 septembre 2015 à la Pinacothèque de Paris. Elle comprend plus de 100 oeuvres issus surtout de collections privées réunit par le commissaire de l’exposition Alain-Dominique Gallizia. C’est une exposition qui a cherché à mettre en lumière et à questionner la place très controversée et difficile à identifier du street art comme art à part entière. Dans la démarche de promouvoir cet art, l’exposition met en avant les toiles qui ont été réalisées par ces artistes qui initialement produisaient dans la rue. Grâce aux oeuvres présentés sur toile et pas sur les murs dans la rue, on a une approche différente du mouvement street art. Cela peut permettre aux visiteurs de se concentrer sur l’oeuvre en faisant abstraction de la problématique autour de l’illégalité de cet art. L’exposition a d’ailleurs été très bien accueillis plaisant aux visiteurs.

L’article de FranceCulture parle de cet ambivalence entre art de rue et art prisé de galerie. Il met en avant le fait qu’aujourd’hui l’art de rue est de plus en plus reconnu comme un réel mouvement artistique. L’article donne la parole à des amateurs qui expriment le bonheur ressenti face à un art gratuit que l’on peut croiser tout les jours dans la rue. Les propos sont concis et permettent une vue d’ensemble des problématiques d’aujourd’hui.

L’article, en plus de présenter l’exposition « le Pressionnisme », semble intéressant dans la mesure où il traite de façon globale l’expansion de cet art et met en lumière son passage de la rue aux galeries d’art.

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